Amis, qui vivez dans la contingence du moment,
En ce vaste monde, et vos droits conditionnés,
Sous la menace du précepte ou du mouvement,
Ne laissez vous atteindre, nuls ordres mystifiés.
Vous que l’on opprime, que l’on règle et sacrifie,
Que l’on taxe pour un oui, impose pour un non,
Ces ronds de cuir, leur panse que vous avez rempli,
Amis, envers et contre tout, refusez leur addition.
Étranglement de l’expression par la censure,
Les mots interdits qui fusent avec la peur,
Vous pousse par l’extrême d’une dictature,
Dans un quotidien exfolié de ses valeurs
On vous flic, on vous trace, vous dévisage.
On vous fait croire, le vrai qu’on dissimule
Sur des illusions vos rêves font naufrage
Votre espoir s’efface et puis s’annule
Tous les plaisirs qui furent ,les joies perdues,
Sombre lendemain, votre vie qu’on a fracturé,
Par l’exubérance leurs actes corrompus,
Ont restreint l’espace de votre liberté.
En esprit de révolte, votre vive colère,
Refuse désormais cette hégémonie appliquée ,
En Profonde angoisse, vous perdez le repère,
Dans le labyrinthe hermétique de vos pensées.
On vous interdit, vous refuse,on vous oblige,
L’euphémisme, vous laisse dans l’ignorance.
Un régime absolu qui vous asservi, vous inflige
Amis, le temps est venu à la résistance.
En ce vaste monde, et vos droits conditionnés,
Sous la menace du précepte ou du mouvement,
Ne laissez vous atteindre, nuls ordres mystifiés.
Vous que l’on opprime, que l’on règle et sacrifie,
Que l’on taxe pour un oui, impose pour un non,
Ces ronds de cuir, leur panse que vous avez rempli,
Amis, envers et contre tout, refusez leur addition.
Étranglement de l’expression par la censure,
Les mots interdits qui fusent avec la peur,
Vous pousse par l’extrême d’une dictature,
Dans un quotidien exfolié de ses valeurs
On vous flic, on vous trace, vous dévisage.
On vous fait croire, le vrai qu’on dissimule
Sur des illusions vos rêves font naufrage
Votre espoir s’efface et puis s’annule
Tous les plaisirs qui furent ,les joies perdues,
Sombre lendemain, votre vie qu’on a fracturé,
Par l’exubérance leurs actes corrompus,
Ont restreint l’espace de votre liberté.
En esprit de révolte, votre vive colère,
Refuse désormais cette hégémonie appliquée ,
En Profonde angoisse, vous perdez le repère,
Dans le labyrinthe hermétique de vos pensées.
On vous interdit, vous refuse,on vous oblige,
L’euphémisme, vous laisse dans l’ignorance.
Un régime absolu qui vous asservi, vous inflige
Amis, le temps est venu à la résistance.
M. PIERRON
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