mardi 25 juillet 2017

VOUS







                                  
Vous m'étiez particulière inconnue,
Votre charme, s'était jeté sur moi.
Douce torture, délicieuse, absolue
De votre tendresse, je fus la proie.

Vous m'aviez offert cet inouï voyage,
Dans l'abîme profond, de vos yeux,
Quand votre regard, sur mon visage,
S'était posé, doux et silencieux.

Je vis trembler votre lèvre épanouie,
Sous le souffle chaud, de vos soupirs,
Quand j'eusse, sur votre bouche envie,
De verser mon langoureux désir.

Autant ravis, par votre humble beauté,
Emu, je chérissais sa tendre douceur,
Espérant, que nos joies enlacées,
Immisceraient l'émoi, dans nos cœurs.

Resplendit, dans votre robe blanche,
Je buvais l'opulence, de votre sein lourd.
J'aurais osé mes mains, sur vos hanches,
Vous exprimer tout mon amour.


                                M.PIERRON



                Copyright © M. Pierron

dimanche 16 juillet 2017

JEU DE MAINS




Ta main, dans la mienne bien-aimée
Et nos doigts complices, qui s'effleurent,
Quand fidèles, chaleureusement enlacées,
Nos mains, se remplissent de bonheur.

Par nos mains, dans leur jeu de plaisir,
Sous nos doigts, souples et fragiles,
Se faufilent, entre nos délicieux désirs,
Le silence inouï, de nos rêves subtils.

Pâles mains, dans l'étreinte de nos joies,
Qui se serrent, palpitantes, plus encore,
Amantes, jusqu'au bout de leurs doigts,
Qu'une douceur mirifique, à uni très fort.

Exquises, en leur voluptueuse finesse,
Les doigts emmêlés, à ne plus se défaire,
Quand la paume, de nos mains se caresse
Et que le sentiment, pénètre leur chaire.

Ta main, sous la mienne, bien-aimée
Et nos doigts, silencieusement tendus,
Quand invisible, l'amour s'est glissé,
Entre nos mains, amoureuses et nues.


                                   M.PIERRON




            


lundi 3 juillet 2017

SECRET SOUS JUILLET





Solitude, sur son corps en détresse,
Plus une main, sur son sein délaissé,
Sa lèvre, ne boit plus la tendresse,
Depuis, que l'amour l'a trompé.

Au jardin dans les herbes, les fleurs,
Sous un pommier, dans l'ombre étendue,
A l'abri, des regards inquisiteurs,
Laisse le frisson, courir sur son nu.

Sous l'azur, ensoleillé de juillet,
Concevant, son prodigieux plaisir,
Dévoile en beauté, ses secrets,
Offrant au ciel, sa nudité en délire

Fabuleuses extases, sur le végétal,
Son fantasme, inouï et tumultueux,
Libère, par son nu intégral,
Le désir, dans le silence, de ses yeux

Humble beauté, sous le feuillage,  
Son long soupir, qui sait l'entendre,
Quand viendra, sous les branchages,
 L'âme douce, qui saura l'éprendre.