Vous m'étiez particulière inconnue,
Votre charme, s'était jeté sur moi.
Douce torture, délicieuse, absolue
De votre tendresse, je fus la proie.
Vous m'aviez offert cet inouï voyage,
Dans l'abîme profond, de vos yeux,
Quand votre regard, sur mon visage,
S'était posé, doux et silencieux.
Je vis trembler votre lèvre épanouie,
Sous le souffle chaud, de vos soupirs,
Quand j'eusse, sur votre bouche envie,
De verser mon langoureux désir.
Autant ravis, par votre humble beauté,
Emu, je chérissais sa tendre douceur,
Espérant, que nos joies enlacées,
Immisceraient l'émoi, dans nos cœurs.
Resplendit, dans votre robe blanche,
Je buvais l'opulence, de votre sein lourd.
J'aurais osé mes mains, sur vos hanches,
Vous exprimer tout mon amour.