Solitude, sur son
corps en détresse,
Plus une main, sur son
sein délaissé,
Sa lèvre, ne boit plus
la tendresse,
Depuis, que l'amour
l'a trompé.
Au jardin dans les
herbes, les fleurs,
Sous un pommier, dans
l'ombre étendue,
A l'abri, des regards
inquisiteurs,
Laisse le frisson, courir sur son nu.
Sous l'azur, ensoleillé de juillet,
Concevant, son
prodigieux plaisir,
Dévoile en beauté, ses
secrets,
Offrant au ciel, sa
nudité en délire
Fabuleuses extases, sur le végétal,
Son fantasme, inouï et
tumultueux,
Libère, par son nu
intégral,
Le désir, dans le
silence, de ses yeux
Humble beauté, sous le
feuillage,
Son long soupir, qui
sait l'entendre,
Quand viendra, sous
les branchages,
L'âme douce, qui saura l'éprendre.
L'amour sous les pommiers....c'est un rêve que je fais souvent...fantasme....fantasme ! je cherche l'ame douce pour m'accompagner !! comme dans ton poème !
RépondreSupprimerPourquoi les pommiers nous font ils autant fantasmer ?
RépondreSupprimerBravo Michel pour ces images ..
un philosophe à dit : J'ai beau recevoir des milliers de caresses , je n'ai jamais été engloutie par l'ivresse
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