Si brut son geste, étrangle sa raison,
Le bout de son rêve à volé en éclat,
Songes perdus, Muettes illusions,
Verticale solitude d'un mur de silence,
Il est seul, dans ce labyrinthe obscurci,
Sans un mot, dans un état d'absence.
Perte d’équilibre, sur les ornières du temps,
Par ses maux, ses irréversibles douleurs,
A laissé mourir ces délicieux printemps.
Cruelle détresse, à sa lèvre suspendue,
A laissé les larmes noyer son regard,
Dans l’épaisse solitude de son âme éperdue .
Si il n’est plus de joie, plus de sourire
Que son visage s’éloigne loin là bas,
La souffrance ! il n’y a rien de pire.
M Pierron