Je t'appelle parfois dans l'abîme de mon rêve,
Sous mon plafond, au silence feutré
de la nuit,
Dans l'océan nocturne, ton
souffle se lève,
Caressant mon front
paisiblement endormi.
Mes yeux te cherchent, te voir
est mon désir,
Tu emplis mon vide d'une tendre frayeur,
Mon esprit te sent, mon cœur te respire,
Tu m'enveloppes de ton
invisible douceur
Ton halo diaphane plane et me
veille,
Son froissement glisse sous
ma paupière,
Dans l'inflexion moite de mon
sommeil,
Roule ton vaste flot de
lumière.
Légère, ton âme s'immisce dans
mon ciel noir,
Son reflet se pâme dans
l'obscurité profonde,
Tu apparais dans la splendeur
de mon miroir,
Comme un ange venu d'un autre
monde.
Ton vif éclat mystique
éblouit mes yeux,
Tu m'enveloppe dans ton éternelle
chaleur,
Puis avant de remonter vers
les cieux,
Tu verses plein d'amour dans
mon cœur.M PIERRON
Je découvre le poète que vous êtes, avec un réel plaisir, je reviendrais vous lire , j'aime. Bonne soirée et au plaisir d'échanger.
RépondreSupprimerBien agréable ce rêve...et surtout plein de douceur !! bises
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